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La complexité de ce qui fait un repas réussi, et ses multiples aléas, peuvent être une allégorie d’une alimentation à hauteur d’humanité. L’alimentation est, comme d’autres enjeux liés au vivant (l’eau, les sols, la mer…) une excellente révélatrice et médiatrice de la complexité des fonctionnements sociétaux, a fortiori « planétarisés ». Avis de catastrophe ? Pas forcément Percevoir une réalité globale comme complexe, avec ses inévitables contradictions, est une attitude de réalisme et prépare à agir.
Il est proposé au lecteur, au fil des trois parties de ce dossier :
de mieux cerner et comprendre le problème du défi alimentaire et sa complexité. L’alimentation est un fait culturel. L’accès à une alimentation suffisante et équilibrée est conditionnée, au « Nord » comme au « Sud », par des facteurs extrêmement divers, voire divergents (modes de production, régulation agro-environnementale, distribution…).
de prendre conscience des conséquences d’une gestion qui ne prend pas en compte cette complexité. Si on traite du défi alimentaire selon une seule dimension (productivité, « surprotection » sanitaire, écologie, commercialisation…), on peut aboutir, aussi bien au niveau des groupes sociaux que des zones géographiques, à des situations de rupture.
de s’approprier quelques points de repère et de connaître un certain nombre de pratiques approchant l’alimentation comme un patrimoine commun, une responsabilité partagée : tous ne sont pas responsables de tout, mais personne ne l’est tout seul. Cette responsabilité s’applique aussi bien à la gestion du défi alimentaire à l’échelle d’un territoire ou d’une filière qu’à la prise en charge de problèmes transversaux (droit à l’alimentation, santé, biodiversité, équilibre des écosystèmes…).
Édité en partenariat avec Sol et Civilisation, la Fédération Française des Banques Alimentaires, Agro Paris Tech, Agriculteurs et Vétérinaires Sans Frontières, Coopérative SICASELI (Lot), Avenir de l’Agriculture en Chartreuse, Pêche et Développement, le Groupe de Recherche et d’Echanges Technologiques
9-11 | [110 Kio]
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42-45 | [82 Kio]
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47-50 | [84 Kio]
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L’organisation professionnelle des agriculteurs : un levier pour co-agir, Michel MOLLARD, 4 pages [2540]
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56 |
Vivre en territoire contaminé : Anna, mère de famille et agricultrice, Henry OLLAGNON, une page [2542]
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58-61 | [110 Kio]
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62-63 | [72 Kio]
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64-67 |
Apporter la santé par la nutrition : responsabilité de l’industrie agroalimentaire, Bernard GIRAUD, Claude ROYON, 4 pages [2545]
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68 | [77 Kio]
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69-73 | [110 Kio]
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74-75 | [64 Kio]
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L’alimentation entre les hommes, les êtres vivants et les territoires, Henry OLLAGNON, 6 pages [2549]
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82-83 | [91 Kio]
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84 |
Ne négligeons pas les agriculteurs, nous allons en avoir besoin !, Bruno PARMENTIER, une page [2551]
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86-89 | ||
90-93 | ||
94-97 | ||
100-102 |
Le développement durable passe aussi par l’accueil des jeunes enfants, Marie-Nicole RUBIO, 3 pages [2555]
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